Entre la nuit du 15 au 16 juillet 2024, un incen­die a cal­ci­né une voi­ture et le garage d’une mai­son sise Ave­nue des Tilleuls. Pour le moment, et selon la pro­prié­taire, aucun indice ne per­met de pen­cher pour un acte d’un(e) pyro­mane. Un dépôt de plainte auprès de la police natio­nale a été entre­pris et les auto­ri­tés com­pé­tentes ont été infor­mées.

 « Je n’é­carte aucune hypo­thèse, a indi­qué Mme S., mais il sem­ble­rait qu’une per­sonne a un pro­blème avec moi ». Mme S. habite à Triel-sur-Seine (ave­nue des Tilleuls) depuis cinq ans. Entre la nuit du 15 et du 16 juillet, un incen­die a détruit sa voi­ture et a cal­ci­né le garage de sa mai­son. Avant l’événement, elle n’a rien enten­du, sauf quelques bruits de « pétards » mais elle s’est dit qu’il s’agissait peut-être de retar­da­taires de la fête natio­nale. Sans plus.
Or, après l’ar­ri­vée des pom­piers, des poli­ciers sont venus frap­per à sa porte pour lui indi­quer qu’un incen­die a eu lieu devant son garage. Au moment de l’acte (mal­veillant ?), vers trois heures du matin, elle n’a pas com­pris qu’un incen­die allait modi­fier son quo­ti­dien. « Cet acte n’est pas banal » a insis­té Mme S.

Désor­mais, la peur est ins­tal­lée dans sa tête et elle doit main­te­nant faire face aux démarches vis-à-vis l’assurance et la police natio­nale. Mme S. veut savoir ce qui s’est pas­sé cette nuit-là. Un autre fait l’incommode : des immon­dices ont été épar­pillées devant la porte de sa mai­son. Aucune expli­ca­tion n’est avan­cée pour le moment. En outre, elle pense que l’image de la ville a été enta­chée :  « l’insécurité règne dans [son] quar­tier » selon son point de vue ; suite à cet incen­die, la frus­tra­tion com­mence à enva­hir son quo­ti­dien ; et le voi­si­nage est dans l’incompréhension totale.

Mme S. a dépo­sé plainte, le 16 juillet, auprès de la police natio­nale au com­mis­sa­riat de Pois­sy. En plus, elle a éga­le­ment écrit au maire, M. Cédric Aoun, et Mme S. attend des réponses concrètes pour savoir ce que les auto­ri­tés com­pé­tentes vont faire pour que ce type d’acte (mal­veillant ?) ne se repro­duise plus. Pour elle, il faut lut­ter contre « L’œil mal­veillant qui nous guette en per­ma­nence ! »