Depuis juin 2017, le projet de la gare, porté par Citallios, a fait l’objet d’un débat dans le microcosme andrésien. Construire 290 logements en quatre ans dans un tissu urbain complexe n’est pas aisé. Malgré quelques critiques mineures, lors de la réunion publique du 7 juin, Hugues Ribault, maire de la commune, reste confiant.
Le contenu de cet article est reservé aux abonnés.
Vous êtes déjà abonné identifiez-vous |
Pas encore abonné(e) Abonnez-vous |